L'ANNIVERSAIRE DE FRANÇOIS Puis elle la glisse le long de sa gorge, sur sa poitrine, entre ses seins. Dun geste délicat, tout en douceur, elle fait délibérément tomber mon sous-verre par terre. Tu devrais le ramasser, murmure-t-elle. Je me penche et risque un coup dil sous la table. Elle a fait remonter la robe un peu plus haut sur ses hanches, afin de libérer son sexe moite. Lune de ses mains se balade sous la bordure dun de ses bas et lautre caresse son sexe, exposant ses lèvres gonflées de plaisir. Je contemple, avec fascination, ses ongles écartâtes. Je la vois devenir de plus en plus excitée, humide, chaude. Je ny tiens plus. Viens, nous partons.Je nai pas fini mon verre. Je nen peux plus, viens. Cest moi qui décide. Dailleurs, nous navons pas encore mangé. On mangera plus tard. Non. Jai fait venir un taxi pour nous amener au restaurant. Jai changé davis pour celui de lhôtel. Devant ma mine déconfite, elle a pitié et finit par accepter. Elle mentraîne hors du bar, vers la sortie de lhôtel. Une longue limousine noire nous y attend. Gabrielle me fait monter et ordonne au chauffeur de démarrer. La cloison émet un petit sifflement feutré en sélevant, nous isolant totalement de lavant du véhicule. Où allons-nous?Ne ten fais pas. Je ne crois pas que tu ten préoccupes très longtemps. Sur ce, elle retire lentement sa robe. Seulement sa robe... Elle ne porte plus quun bustier de dentelle noire, la soie sur ses cuisses, les chaussures et les perles. Le Champagne étant de circonstance, elle en fait sauter le bouchon d'une main experte et sert un seul verre 12 |
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