L'ANNIVERSAIRE DE FRANÇOIS Je suis sous le choc. Je nen reviens pas! La transformation est totale, complète. Mais leffet quelle a sur moi, physiquement et psychologiquement, est le même. A lexception de la culpabilité qui, miraculeusement, vient de sévanouir. ![]() ![]() ![]() ![]() Je ne peux plus rien dire. Ses deux pieds sont maintenant sur ma queue, gonflée à lextrême. Elle me masse et me pétrit doucement, se fait urgente, puis douée. Si elle narrête pas très bientôt, je sens et elle en est tout à fait consciente que je vais jouir dans mon pantalon comme un adolescent. Des sueurs me coulent le long de la colonne vertébrale et je minquiète pour notre entourage. Mais toutes les tables sont munies de longues nappes tombant jusquau sol. Elle avait tout planifié... Retirant un de ses pieds, elle me laisse enfin du répit. Elle tient maintenant son verre dune main paresseuse et lautre disparaît négligemment sous la table. Elle lâche son verre et me regarde un moment, immobile, se soulève légèrement puis se penche vers moi. ![]() Elle me tend une culotte minuscule quelle a réussi à retirer sous la table par quelque stratagème subtil dont seules les femmes ont le secret et sans que je men rende compte. Je la prends et la porte discrètement à mon visage. Son parfum, mélangé à lodeur musquée de son corps, me fait frémir. Gabrielle me tend la main. Je la saisis pour lembrasser. Je goûte, dans sa main, la moiteur familière de son sexe et en lèche avidement le parfum. Elle retire sa main de la mienne pour faire courir langoureusement sa langue entre ses doigts.11 |
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